Le vingt-quatrième jour du premier mois, je me trouvai sur la rive du grand fleuve, le Tigre. Je levai les yeux, et j’aperçus un homme vêtu d’habits de lin qui portait une ceinture d’or le plus pur[a] autour des reins[b]. Son corps luisait comme de la topaze, son visage flamboyait comme l’éclair, ses yeux étaient pareils à des flammes ardentes, ses bras et ses pieds avaient l’éclat du bronze poli. Quand il parlait, le son de sa voix retentissait comme le bruit d’une grande foule.

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Footnotes

  1. 10.5 Littéralement : or d’Ouphaz, mais c’est sans doute là une expression idiomatique.
  2. 10.5 Pour les v. 5-6, voir Ez 1.7, 13, 16, 24 ; 9.2 ; Ap 1.13-15 ; 2.18 ; 19.12.